L’importance de maintenir une offre d’hébergement collaboratif

Montréal, le 7 juin 2023 — En marge de l’adoption du projet de loi n° 25, Loi visant à lutter contre l’hébergement touristique illégal, la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) a tenu à souligner l’importance de favoriser un environnement équitable ainsi qu’une saine concurrence entre les différents acteurs de l’industrie de l’hébergement touristique, sans pour autant, interdire les entreprises d’hébergement collaboratif.

De façon générale, la FCCQ appuie le texte législatif, alors qu’elle avait fait part de ses recommandations concernant l’encadrement souhaité, dans un mémoire de la FCCQ qui avait été déposé récemment auprès de la commission parlementaire et de la ministre du Tourisme, Caroline Proulx.

Un encadrement équitable des pratiques, sans pour autant mettre un frein à l’innovation
Le secteur hôtelier demeure essentiel pour le déploiement de l’industrie du tourisme dans l’ensemble des régions du Québec. Sans la présence d’hôtels, l’attrait touristique du Québec serait affaibli et de nombreux festivals ou toutes autres activités culturelles ne pourraient avoir lieu.

L’accès à un hébergement touristique se trouve d’ailleurs parmi les premières actions en matière de réservations effectuées par les touristes, avant de se déplacer dans une région déterminée. Or, il est d’autant plus important de soutenir cette industrie, mais sans pour autant freiner l’innovation.

« En resserrant les pratiques, le projet de loi n° 25 répond au besoin d’assurer une saine concurrence dans l’industrie de l’hébergement à court terme. Il demeure important de souligner que les plateformes numériques d’hébergement touristique répondent également à un besoin, plus particulièrement en région, où l’offre peut être restreinte », a affirmé Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

« Il ne faudrait pas oublier que ces entreprises d’hébergement collaboratif contribuent elles aussi au rayonnement des régions. Grâce à leurs services, nous pouvons découvrir différentes localités et participer à une économie locale en profitant des restaurants ou encore, participer aux différentes activités culturelles que les régions québécoises nous offrent », a conclu M. Milliard.

La FCCQ estime que le projet de loi n°25 s’inscrit dans la continuité des démarches entamées au cours des dernières années, notamment avec la Loi sur l’hébergement touristique.

Linda Mallette, lauréate au Gala des chambres 2023

La FCCQ est ravie d’annoncer les lauréats du Gala des chambres 2023. Présenté par le Régime d’assurance collective des chambres de commerce (RACCC), il reconnaît les chambres de commerce ou les personnes actives dans le réseau qui se sont démarquées par des réalisations exceptionnelles au cours de l’année précédente.

Nous tenons à féliciter les chambres finalistes et lauréates pour leur participation. C’est leur dévouement pour la réussite économique des régions dans lesquelles elles opèrent qui est au cœur de ce succès.

Et surtout, nous sommes très heureux que Linda Mallette, coordonnatrice de notre chambre, ait remporté le Prix Jean-Paul Létourneau!


Voici les lauréats 2023 :

BUDGET FÉDÉRAL 2023 – Des attentes prébudgétaires comblées dans un contexte d’incertitude économique, selon la FCCQ

Ottawa, le 28 mars 2023 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) salut plusieurs mesures budgétaires présentées aujourd’hui par la vice-première ministre et ministre des Finances, Chrystia Freeland.

La FCCQ se dit préoccupée des impacts des mesures protectionnistes américaines qui pourraient être considérables pour nos entreprises québécoises. L’adoption de la loi américaine de réindustrialisation et d’investissement dans les technologies vertes et en santé, appelée « Inflation Reduction Act » (IRA), prévoit un investissement de près de 370 G$, qui pourrait bien être plus élevé à la ligne d’arrivée.

En réponse à l’IRA, le budget fédéral 2023 propose un certain nombre de crédits d’impôt qui permettront de faciliter les investissements massifs dans les nouvelles technologies vertes. Par exemple, le crédit d’impôt à l’investissement dans l’électricité propre, le crédit d’impôt à l’investissement dans la fabrication de technologies propres ainsi que le crédit d’impôt à l’investissement dans l’hydrogène propre sont de bonnes mesures.

Celles-ci pourraient mettre en valeur la pluralité énergétique retrouvée notamment au Québec, ainsi que la notion de se doter de la bonne source moins émettrice à la bonne place. Ils permettront à nos entreprises dans leurs projets, de répondre aux subventions industrielles massives retrouvées aux États-Unis, afin de réduire leur empreinte environnementale.

« Le marché américain est un partenaire commercial important pour le Québec, et l’avènement de mesures protectionnistes au sud de la frontière ne constitue jamais de bonnes nouvelles pour notre économie québécoise. Surtout s’il est question des impacts potentiels sur des projets québécois en énergie renouvelable, en électrification et dans le développement de la filière batterie. Le gouvernement Trudeau fait le choix de l’environnement comme outil central de sa stratégie de développement économique », a affirmé Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

Le budget fédéral d’aujourd’hui amène des réponses aux préoccupations exprimées par le milieu d’affaires, à la suite de l’annonce récente de l’administration américaine, pour faciliter les investissements à venir. Pour y arriver, le Québec et ses régions doivent avoir une part importante du gâteau, étant donné l’importance accordée dans notre économie au développement des technologies propres ainsi que la présence d’atouts stratégiques grâce aux distributeurs d’énergies renouvelables québécois, ou encore dans la fabrication et la transformation des matières premières et des composantes. Des opportunités sont à saisir, entre autres dans les minéraux critiques et stratégiques comme le lithium, le graphique, le cobalt ou le nickel, pour ne nommer que ceux-ci.

Prévisions moins optimistes pour les finances publiques et aller plus loin pour l’efficacité de l’État
La FCCQ constate que contrairement à ce qui a été présenté à l’énoncé économique publié l’automne dernier, le gouvernement fédéral demeurera finalement déficitaire pour les cinq prochaines années. En novembre 2022, le gouvernement fédéral affirmait pourtant selon ses prévisions qu’il présenterait à l’exercice 2027-2028, des surplus budgétaires de 4,5 G$, ce que la FCCQ avait salué. Quatre mois plus tard, il est plutôt question d’un déficit annuel de 14 G$, ce qui représente une différence considérable par rapport aux récentes prévisions et des signaux moins favorables à une saine gestion des finances publiques, déplore la FCCQ.

En effet, les lourdeurs administratives, le chevauchement fréquent et le ciblage parfois déficient des programmes d’aide fiscale et financière, sans oublier les délais exagérés du système d’immigration plombent notre potentiel de croissance économique, rappelle la FCCQ. Tant les entreprises que les citoyens et les nouveaux arrivants font les frais de ces inefficacités de la bureaucratie fédérale.

On continue d’observer des délais exagérés du système d’immigration ce qui nuit évidemment à notre capacité de pallier au manque de main-d’œuvre. Tant les entreprises que les citoyens et les nouveaux arrivants font les frais de ces inefficacités observées dans la bureaucratie fédérale. On remarque que de nouvelles sommes sont consacrées pour modifier le traitement des demandes de citoyenneté, mais il faudra s’assurer d’un suivi étroit quant à l’efficacité des mesures mises en place au présent budget, mais également à l’énoncé économique de l’automne dernier. Chose certaine, les délais doivent être réduits substantiellement.

En général, les mesures retrouvées pour le soutien à la main-d’œuvre sont bien accueillies par la FCCQ. Par exemple, le budget fédéral 2023 propose l’année prochaine près de 200 M$ pour le programme de stages pratiques pour étudiants, visant à offrir des partenariats entre les employeurs et les établissements d’enseignement postsecondaire. Elles rappellent du même souffle que les mesures permettant aux travailleurs d’investir dans leur propre développement sont insuffisantes et qu’elle s’attend à ce que soit l’approche en formation continue soit modernisée par l’adoption d’un Régime Volontaire d’Épargne Formation Continue (RVEFC) qui irait plus loin que ce qui est offert en ce moment.

Des mesures en développement régional retrouvées dans le budget
La FCCQ remarque que le budget 2023 aborde plusieurs investissements en infrastructures stratégiques sur le plan régional au Québec et dans la métropole. Certaines annonces présentées par le passé sont réitérées, comme des projets d’investissement concernant du Fonds national des corridors commerciaux ainsi que la voie de contournement ferroviaire de Lac-Mégantic, mais d’autres projets représentent des nouveautés.

C’est le cas entre autres de l’importante somme dédiée à la société Les Ponts Jacques Cartier et Champlain Incorporée, notamment pour le réaménagement de l’autoroute Bonaventure en boulevard urbain. Aussi, 210 M$ au total sur cinq ans sont prévus afin d’entretenir la flotte actuelle de VIA Rail sur le corridor Québec-Windsor. Cependant, le présent budget demeure muet sur une liaison ferroviaire haute vitesse entre Québec et Toronto.

Des sommes importantes sont prévues dans la Garde côtière canadienne pour la formation et l’intégrité de la flotte d’hélicoptères, sans malheureusement aborder spécifiquement les besoins en réfection de la flotte de brise-glaces, nécessaire à l’efficacité du corridor commercial du Saint-Laurent en temps hivernal. Ces dépenses nécessiteront des montants importants, rappelle la FCCQ.

Plusieurs projets d’infrastructures impliquant le Québec, sont abordés dans le budget 2023. Ce sont des signaux positifs pour répondre à nos besoins en infrastructures. Par contre, des besoins en maintien des actifs et en développement demeurent pour des infrastructures routières, portuaires, aéroportuaires, ferroviaires, notamment via le Fonds des corridors commerciaux pour le long du Saint-Laurent. Il doit y avoir un véritable rattrapage par rapport à ce qui a été consacré par le passé, notamment lorsque l’on compare ce qui a déjà été consacré par le passé à la Porte et au Corridor de l’Asie-Pacifique dans l’ouest du Canada ».

Dépôt du projet de loi n° 19, Loi sur l’encadrement du travail des enfants : Valoriser le travail, au bon moment et de la bonne façon, selon la FCCQ

Montréal, le 28 mars 2023 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) tient à saluer le dépôt du projet de loi sur l’encadrement du travail des enfants par le ministre du Travail, Jean Boulet. Au cours de la dernière année, la FCCQ a joué un rôle-clé dans l’élaboration de l’avis sur le travail des enfants du Comité consultatif du travail et de la main-d’œuvre, avis qui a servi de pierre d’assise pour ce projet de loi.

Pour la FCCQ, il est important de réagir à la présence accrue des jeunes sur le marché du travail et à l’augmentation importante d’accidents de travail les impliquant depuis les dernières années. Cependant, il est également essentiel de permettre aux jeunes de 14 ans et plus de prendre part au marché de l’emploi, et cela dans un environnement sécuritaire et propice à leur développement. Limiter à 17 heures par semaine, et à 10 h du lundi au vendredi, le travail des jeunes Québécois de moins de 16 ans nous semble raisonnable afin de conjuguer les études et les premières expériences en emploi. Les exceptions prévues pour les périodes de plus de 7 jours consécutifs au cours desquelles aucun service éducatif n’est offert, telles que les relâches et la période estivale, permettront également une certaine flexibilité de gestion d’horaire pour les employeurs qui embauchent ces jeunes travailleurs.  

Une expérience sur le marché du travail peut entraîner des répercussions positives sur la persévérance et la réussite scolaire, en plus de favoriser le développement de compétences qui n’auraient pas été acquises sur les bancs d’école.

« Une première expérience en emploi peut être enrichissante en plus d’être formatrice pour nos jeunes travailleurs. Il n’y a pas de meilleur enseignement que les entreprises pour développer des compétences dites de savoir-être. Nous pouvons penser notamment à la capacité d’adaptation, le travail d’équipe, et l’autonomie, pour ne nommer que ceux-ci » a affirmé Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.

L’importance des exceptions à la loi
Certains emplois restent propices et bénéfiques pour des jeunes de moins de 14 ans et nous saluons la volonté du gouvernement de prévoir ces exceptions dans le projet de loi. Ne pas prévoir ces exceptions signifierait les restreindre à l’économie informelle, limitant les protections sociales prévues dans notre législation du travail. Nous désirons notamment souligner l’importance que le travail dans les entreprises familiales puisse faire l’objet de cette mesure d’exception.

« L’entrepreneuriat est un mode de vie pour de nombreuses familles québécoises. Pensons notamment à nos agriculteurs, les petits commerçants ou encore aux entrepreneurs dans l’industrie de l’hôtellerie. Dans ces situations, l’entreprise familiale est un élément important de la dynamique familiale et de la vie personnelle des jeunes et de leurs parents. Pour ces entrepreneurs, cette dynamique se doit d’être maintenue », a poursuivi M. Milliard.

Un outil dédié aux employeurs pour encourager les jeunes travailleurs à poursuivre leurs études
La législation ne peut être l’unique outil pour encourager la persévérance scolaire des jeunes employés. C’est pour cette raison que la FCCQ a dévoilé en février 2022 la Charte des employeurs pour la persévérance scolaire. Il s’agit d’une initiative de la FCCQ, de la Table ronde entre le milieu des affaires et de l’éducation ainsi que du Réseau québécois pour la réussite éducative. L’objectif de cette Charte est simple : nous devons encourager la communication et favoriser le dialogue entre les employeurs et les étudiants travailleurs.

« Nous sommes d’avis que la Charte des employeurs pour la persévérance scolaire est un outil complémentaire au projet de loi et qui permet de mieux outiller les employeurs dans l’accompagnement de la réussite éducative des jeunes travailleurs », a conclu Charles Milliard.

La FCCQ analysera attentivement le projet de loi et participera activement aux consultations à venir lors de son examen par les parlementaires afin d’émettre des recommandations et assurer le respect du consensus obtenu lors des travaux du Comité consultatif du travail et de la main-d’œuvre.

Pour plus d’information sur la Charte des employeurs pour la persévérance scolaire, veuillez consulter le
lien suivant : https://www1.fccq.ca/publications/categories/charte-perseverance-scolaire/

Lutte aux changements climatiques: l’industrie forestière joue son rôle

Notre regard collectif sur l’utilisation de nos ressources naturelles et de notre énergie prend de plus en plus d’espace dans notre écosystème médiatique et politique. On parle d’hydroélectricité, d’aluminium vert, d’hydrogène vert, mais on oublie que le Québec dispose d’une ressource locale, verte et renouvelable au potentiel infini : sa forêt.

Avec plus de 10 000 produits dérivés, le bois représente un outil important dans la lutte contre les changements climatiques. Le Québec n’a pas le luxe de s’en priver s’il souhaite réduire son empreinte carbone et atteindre ses objectifs dans les prochaines décennies.

Somme toute, le bois représente une ressource locale et renouvelable qui constitue une autre option à certains emballages et ustensiles en plastique jetable, dont la styromousse, les sacs de plastique, les pailles, pour ne nommer que ceux-là. Construire avec du bois, c’est stocker du dioxyde de carbone à long terme.

N’empêche, l’industrie forestière fait présentement face à des enjeux importants d’approvisionnement et d’accès à la ressource qui mettent en péril non seulement le secteur, mais également la vitalité économique de plusieurs régions du Québec. Rappelons que 130 000 emplois payants dépendent de la foresterie à l’échelle québécoise.

Au rythme actuel de production, nous serons voués à importer du bois et de la fibre en provenance de pays étrangers si nous voulons répondre à la demande intérieure croissante. Pourtant, notre vaste territoire forestier nous permettrait non seulement de subvenir à nos propres besoins, mais aussi d’exporter vers nos partenaires commerciaux. La question se pose donc d’elle-même :

Sommes-nous collectivement prêts à valoriser l’industrie forestière afin qu’elle devienne un pôle majeur du développement durable au Québec?

Si c’est le cas, le gouvernement se doit de proposer une vision ambitieuse, rassembleuse et innovante pour permettre à la forêt de jouer son rôle, d’en concilier les usages, tout en l’aménageant pour qu’elle se renouvelle de façon durable et qu’elle continue de contribuer à la transition verte du Québec.

Actuellement, le gouvernement du Québec, qui soit dit en passant est le plus grand propriétaire forestier en sol québécois, souhaite augmenter la productivité sur le territoire dans les prochaines années. S’assurer que l’on réalise les travaux sylvicoles nécessaires devrait donc faire partie des objectifs à accomplir si nous souhaitons arrimer production et conservation.

Un arbre est en mesure d’emprisonner une quantité limitée de CO2 durant sa vie. C’est pourquoi replanter des arbres est non seulement essentiel pour pérenniser la production, mais aussi pour créer de nouvelles sources de séquestration du carbone.

Il est donc possible de gérer l’utilisation de nos forêts pour répondre aux défis que posent la conservation et la protection de la biodiversité, tout en permettant à la filière québécoise du bois de prospérer dans les prochaines années, au bénéfice de notre planète.

COSIGNATAIRES :

• Charles Milliard, Président-directeur général de la Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ)

• Jean-François Samray, Président-directeur général du Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ)

• Alyson Michaud, Adjointe de direction, Chambre de commerce et d’industrie du Cœur-du-Québec

• Nancy Dubé, Directrice générale, Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet – CCKL

• Etienne Fredette, Directeur général, Chambre de commerce de Gatineau (CCG)

• Frederic Lajoie, Directeur général, Chambre de commerce de Bellechasse-Etchemins (CCB-E)

• Vanessa Dubois, Présidente, Chambre de Commerce et d’industrie du secteur de Normandin

• Véronique Lasalle, Présidente, Chambre de commerce de la Haute-Matawinie

• Sandra Rossignol, Présidente-directrice générale, Chambre de commerce et d’industrie Saguenay-Le Fjord

• Caroline Vallée, Présidente, Chambre de commerce et d’industrie région de Mégantic

• Alexandra Jacquet, Directrice générale, Chambre de commerce du Haut-Saint-François

• Marie-Christine Lavoie, Directrice générale, Chambre de commerce et d’industrie Nouvelle-Beauce

• Patrick Laroche, Président, Chambre de commerce et d’industrie Bois-Francs/Érable

• Jade Poitras Bessette, Directrice générale, Chambre de Commerce du Grand Joliette

• Alexandra Lemieux, Présidente, Chambre de commerce et d’industrie de la MRC de Montmagny

• Marie-Josée Morency, Vice-présidente exécutive et directrice générale, Chambre de commerce et d’industrie du Grand Lévis

• Louise Bourgault, Présidente et directrice générale, Chambre de commerce et d’industrie de Sherbrooke

• Daniel Beaudoin, Président, Chambre de commerce Brandon

• Denis Lévesque, Directeur-général, Chambre de commerce – Région de Matane

• Alexandra Houle, Directrice générale, Chambre de commerce et d’industrie de Drummond

• Claude Balleux, Président, Chambre de commerce et d’industrie du Centre-Abitibi (CCICA)

• Jean-Philippe Lemire, Président, Chambre de commerce et d’industrie de la MRC de Montcalm

• Béatrice Roy-Prince, Directrice générale, Chambre de commerce et d’industrie du HautSaint-Maurice

• Marie Pier Roy, Directrice générale, Chambre de commerce et d’industrie de SaintFélicien

• Bélynda Lévesque, Présidente, Chambre de commerce et de l’industrie de Mont-Joli et de La Mitis

• Guillaume Ratté, Président, Chambre de commerce et d’industrie de Dolbeau-Mistassini

• Antonio Hortas, Président, Chambre de commerce et d’industrie de Manicouagan

• Louis Biron, Directeur général, Chambre de commerce Vallée de la Petite-Nation

• Karine Deschesnes, Directrice générale, Chambre de commerce de la MRC de La Matapédia

• Claudette Migneault, Présidente-directrice générale, Chambre de commerce de la MRC de Rivière-du-Loup

Prenez note que nous sommes maintenant au QG (5, rue Industrielle à Saint-Roch-de-l'Achigan).